A peine que le monde semblait sortir d'une crise financière sans pareille qui ébranle ses infrastructures économiques, jusque-là et apparemment invulnérables, qu'une crise humaine, celle du massacre de la ville palestinienne de Gaza par l'aviation de guerre israélienne, se déclenchait. Le caractère inhumain de tels actes n'est pas à démontrer, car criant son horreur. Mais ce qui peine et déchire, c'est l'obstination d'Israël d'arrêter les hostilités et de faire une trêve, même pour quelques heures. Le monde s'inquiète pour le sort réservé à des hommes pris dans l'enfer des bombardements sans fin. Une situation catastrophique, alarmante et encore une fois inhumaine, qui démontre toute l'indifférence de l'ennemi sioniste aux appels incessants de la communauté internationale pour l'arrêt des bombardements. De l'Orient à l'Occident, les voix de la raison montent, appelant à une trêve, à une paix momentanée, pour insister à dire que les Palestiniens ont en assez de ces guerres successives et de ces massacres à n'en plus finir. Les Israéliens n'entendent pas ces appels de cette oreille et continuent de semer la mort et la terreur dans les rangs des habitants de Gaza, qu'ils soient de «Hamas» ou pas. Le subterfuge d'Israël est flagrant, car cet acte est comparable à quelqu'un qui veut tuer son «ennemi» et qui fait sauter tout un quartier pour avoir sa «peau!». C'est du pareil au même, quand on est inhumain et qu'on jette bas les lois et les conventions internationales qui donnent la primauté à l'Homme, à l'intégrité de son territoire et à sa liberté.