Le professeur universitaire d'économie, Aram Belhadj a considéré qu'il était fort probable que la Banque Centrale de Tunisie soit officiellement appelée à financer le budget de l'Etat. Dans une publication Facebook du 19 octobre 2024, Aram Belhadj a considéré que la Tunisie comptera sur ses propres moyens à travers une augmentation de la pression fiscale. Selon lui, le projet de loi de finances 2025 conduira à une hausse de la pression fiscale, à un ciblage de l'épargne nationale, à une baisse des réserves en devises et à un problème de liquidité au niveau des banques.