En 2023, le nombre de Contrats d'Initiation à la Vie Professionnelle (CIVP) signés a enregistré une baisse significative, atteignant 101 906 contrats, soit une diminution de 9,3 % par rapport à l'année précédente. Ce recul, rapporté par l'Agence Nationale pour l'Emploi et le Travail Indépendant, est en grande partie attribué à la conjoncture économique difficile du pays, qui a freiné l'intérêt des entreprises pour ce programme destiné à faciliter l'insertion professionnelle des jeunes.
L'agence a également pris des mesures visant à rationaliser la prolongation des contrats, dans l'objectif d'encourager l'intégration des bénéficiaires au sein des entreprises. Le nombre de prolongations a ainsi chuté de 3,4 %.
Le secteur des services reste le principal pourvoyeur de ces contrats, concentrant 67 % des signatures en 2023, suivi par l'éducation et le commerce. Toutefois, cette baisse affecte principalement les jeunes diplômés, qui représentent 58,3 % des bénéficiaires du programme.
La répartition des bénéficiaires montre une domination des femmes, avec 68,8 % des contrats signés par des femmes, contre 31,8 % pour les hommes, soulignant encore une fois l'importance de ce programme pour l'insertion professionnelle des jeunes femmes diplômées dans un marché du travail déjà restreint.Ce recul, rapporté par l'Agence Nationale pour l'Emploi et le Travail Indépendant, est en grande partie attribué à la conjoncture économique difficile du pays, qui a freiné l'intérêt des entreprises pour ce programme destiné à faciliter l'insertion professionnelle des jeunes. L'agence a également pris des mesures visant à rationaliser la prolongation des contrats, dans l'objectif d'encourager l'intégration des bénéficiaires au sein des entreprises. Le nombre de prolongations a ainsi chuté de 3,4 %. Le secteur des services reste le principal pourvoyeur de ces contrats, concentrant 67 % des signatures en 2023, suivi par l'éducation et le commerce. Toutefois, cette baisse affecte principalement les jeunes diplômés, qui représentent 58,3 % des bénéficiaires du programme. La répartition des bénéficiaires montre une domination des femmes, avec 68,8 % des contrats signés par des femmes, contre 31,8 % pour les hommes, soulignant encore une fois l'importance de ce programme pour l'insertion professionnelle des jeunes femmes diplômées dans un marché du travail déjà restreint.Ce recul, rapporté par l'Agence Nationale pour l'Emploi et le Travail Indépendant, est en grande partie attribué à la conjoncture économique difficile du pays, qui a freiné l'intérêt des entreprises pour ce programme destiné à faciliter l'insertion professionnelle des jeunes.
L'agence a également pris des mesures visant à rationaliser la prolongation des contrats, dans l'objectif d'encourager l'intégration des bénéficiaires au sein des entreprises. Le nombre de prolongations a ainsi chuté de 3,4 %.
Le secteur des services reste le principal pourvoyeur de ces contrats, concentrant 67 % des signatures en 2023, suivi par l'éducation et le commerce. Toutefois, cette baisse affecte principalement les jeunes diplômés, qui représentent 58,3 % des bénéficiaires du programme.
La répartition des bénéficiaires montre une domination des femmes, avec 68,8 % des contrats signés par des femmes, contre 31,8 % pour les hommes, soulignant encore une fois l'importance de ce programme pour l'insertion professionnelle des jeunes femmes diplômées dans un marché du travail déjà restreint.