Le chef du gouvernement Ahmed Hachani semble totalement déconnecté de la réalité tunisienne. Ses objectifs sont loin d'être atteints, ses fautes sont coûteuses et on ne le voit nulle part.
Comme un écolier studieux cherchant la reconnaissance de (...)
Le président de la République est revenu sur la polémique actuellement observée sur les réseaux sociaux et les médias nationaux et internationaux, à la suite des arrestations de journalistes et d'avocats et le double assaut policier de la Maison de (...)
Nouveau tour de vis des autorités contre les journalistes et les avocats, mais aussi contre le monde sportif, avec un lot d'arrestations qu'on peut considérer comme abusives. Les partisans du régime applaudissent et font valoir le retour d'un Etat (...)
Elle a fait trembler les islamistes pendant des années et elle est, maintenant, la bête noire du régime putschiste de Kaïs Saïed. Avec sa triple casquette d'avocate, de chroniqueuse dans les médias et de militante, Sonia Dahmani dérange et c'est (...)
Kaïs Saïed a beau le nier et prétendre le contraire, l'Etat est bel et bien en train d'extorquer ses citoyens, notamment parmi les hommes d'affaires et les hommes politiques. Dernière victime en date, l'ancien ministre et prisonnier politique Ghazi (...)
Chaque fois que l'opinion publique l'oublie, le régime de Kaïs Saïed fait remonter sur scène l'ancien président de la République, Moncef Marzouki. Après des condamnations à de la prison ferme, M. Marzouki fait désormais l'objet d'une nouvelle (...)
Le régime de Kaïs Saïed n'aime pas rendre de comptes et continue à agir comme si la Tunisie était une ferme personnelle. Le chef de l'Etat limoge des ministres et de hauts responsables sans donner de raisons et en nomme d'autres sans justifier (...)
Elle est par excellence l'affaire publique numéro 1 et intéresse l'opinion nationale et internationale. Ne sachant plus que faire pour l'étouffer, tant elle est scandaleuse, le régime de Kaïs Saïed s'est mis à harceler les journalistes pour qu'ils (...)
Réunion tripartite au sommet au palais de Carthage entre les dirigeants tunisien, algérien et libyen avec pour objectif de ressusciter le projet du Grand Maghreb, vieux de 36 ans, sous une nouvelle forme à trois pays au lieu de cinq. Au vu du (...)
Il est le lobbyiste le plus notoire de la vie politique tunisienne. En prison depuis quatorze mois, son nom est très rarement évoqué par le comité de défense des prisonniers politiques et dans les médias. Kamel Letaïef n'est pourtant pas plus (...)
Un projet de décret de création de l'Office du développement du sud et du Sahara a été approuvé jeudi 4 avril 2024 en conseil des ministres. Au vu des prérogatives et de la nature de ce nouvel organisme, telles que décrites par le décret, il s'avère (...)
Alors que l'Utica aurait dû organiser son congrès électif depuis quinze mois et se maintient grâce à une soumission totale au régime, les organisations patronales Conect et Iace continuent à respecter leurs affiliés et leur mission.
« Le mandat de (...)
Sans explication aucune et sans raison apparente, le président de la République a limogé lundi 1er avril 2024 son ministre de l'Education, Mohamed Ali Boughdiri. Il s'agit du septième limogeage de l'année et le sixième depuis le début du ramadan. Le (...)
Jamais dans l'Histoire de la Tunisie, l'administration n'a été aussi démotivée et sclérosée. Le manque de moyens, la pression du pouvoir et la peur du licenciement, voire de la prison, font que les fonctionnaires n'ont plus le goût de travailler et (...)
À chaque fois qu'il y a quelque chose qui ne marche pas, le président de la République accuse de mystérieux lobbies d'être à l'origine du sabotage. Pénurie, inflation, intox, grands projets d'infrastructure, ces lobbies frappent partout, si l'on se (...)
Il a suffi de 39 voix pour que le projet de loi relatif à l'accord de création d'un bureau du Fonds de développement qatari en Tunisie tombe à l'eau. Parrain du projet, le président de la République ne laissera pas sans punition un tel affront. (...)
Après l'administration, les journalistes, les syndicats, les commerçants et un tas d'autres corporations, le régime de Kaïs Saïed chercher à briser les quelques avocats encore insolents à coups de procès fallacieux.
De tous temps, les avocats ont (...)
Le ministre de l'Intérieur ne veut plus des reportages micros-trottoirs réalisés par les médias audiovisuels sous prétexte qu'ils ternissent l'image de la Tunisie. S'il avait confiance en son travail et en lui, il n'aurait jamais cherché à cacher la (...)
Détenu depuis octobre 2021, l'ancien ministre des Droits de l'Homme, Mehdi Ben Gharbia, attend un verdict de la cour de cassation qui tarde à venir. N'ayant pas cessé de clamer son innocence, disculpé par le juge d'instruction qui a traité son (...)
Après s'en être pris à ses opposants, Kaïs Saïed s'en prend maintenant à ses soutiens. Il a limogé quatre hauts cadres de l'Etat cette semaine et s'isole de plus en plus. Sur le plan international, cela ne va pas mieux, ses très rares soutiens (...)
Deuxième jour du mois de ramadan, le président Kaïs Saïed limoge, sans explication aucune et sans raison apparente, les ministres de la Culture et du Transport. Un comportement digne des dictatures ordinaires et des dirigeants qui prennent des (...)
Finie la sous-traitance dans le service public et probablement bientôt dans le secteur privé. C'est ce que veut Kaïs Saïed dont les connaissances en économie sont comparables à ses connaissances en physique quantique.
Jamais dans l'histoire une (...)
L'ancien ministre Mondher Zenaidi est pressenti pour être candidat à la présidentielle 2024. Mais bien qu'il n'ait pas encore annoncé sa décision, voilà que l'on déterre, comme par hasard, une vieille affaire et que les thuriféraires du régime de (...)
Son nom bruisse depuis quelques semaines dans les salons politiques. Et si c'était lui l'homme providentiel ? Par le trou de la lorgnette, on le voit (ou on croit le voir) venir de loin sauver la Tunisie des griffes d'un président atypique qui a tué (...)
Du jour au lendemain, le gouvernement tunisien a décidé d'interdire le recours à la sous-traitance dans le secteur public. Sans aucune étude d'impact préalable, il met des centaines de milliers d'emplois en danger et risque de mener les institutions (...)