Le chef de la diplomatie italienne Giulio Terzi a dénoncé l'incitation à la haine et la diffamation religieuse. Giulio Terzi, ministre des Affaires Etrangères, a déclaré qu'il y a « une ligne très fine mais claire qui sépare la liberté de religion de la liberté d'expression » et a ajouté que le code pénal italien définit le délit de diffamation religieuse.