Moncef Marzouki le président provisoire de la république a, parait-il, perdu une nouvelle occasion d'arranger les choses. Il a, pressé certainement, par ces puissants alliés islamistes d'Ennahdha au pouvoir, demandé, dans un discours qu'il a prononcé à l'occasion de la 68ème session de l'association générale des nations unies, aux autorités égyptiennes de libérer Mohamed Morsi, président égyptien destitué ainsi que tous les prisonniers politiques. En réponse à cet appel, le ministère des affaires étrangères égyptien a exprimé, selon le journal égyptien www.youm7.com, sont rejet et son indignation, considérant qu'il s'agit d'un dépassement de la volonté du peuple égyptien.