Adel Daâdaâ est parmi les rares présidents à honorer leurs engagements vis-à-vis de leurs employés en temps et heures fixes. Aucun arriéré, aucune ardoise à éponger ni envers ses joueurs ni envers ses fournisseurs. Sous sa présidence et sous l'impulsion de « ses propres efforts personnels », les caisses débordèrent de deniers avec un budget plafonnant voire dépassant pour la première fois de l'histoire d'Hammam-Lif les 3 milliards. Cependant, certains éternels et «chroniques mécontents» trouvèrent le moyen de manquer de respect au grand homme. Suffisant pour qu'il exprime son ras le bol et son désir de partir excédé en plus par l'attitude des instances fédérales à l'endroit de ses couleurs avec plein d'injustices criardes vis-à-vis des verts. Mais cette volonté de partir a été violemment contrée par la rue soutenant le président à bras le corps et l'incitant à passer outres ces exactions qui ne reflètent nullement la haute opinion dont il jouit à Hammam-Lif et le plus grand respect que lui vouent les véritables inconditionnels banlieusards. Reste maintenant à ardemment souhaiter que cette trêve qui s'annonce parvienne à calmer certaines ardeurs pour le plus grand bien du club qui a le plus besoin pour l'heure de l'union sacrée de toutes ses composantes pour négocier comme il se doit cette deuxième phase qui s'annonce difficile, cruciale pour son avenir, sa survie parmi l'élite.