Le feuilleton de l'affaire Chamseddine Dhaouadi ne parait vouloir prendre fin de sitôt en dépit du fait que le match sujet de cette controverse entre le CSS et le CSHL ait été rejoué et que le joueur ait été définitivement qualifié à l'ESS. Imed Mseddi le vice-président du CSS annonça en effet que le CSS réclamerait la rondelette somme de 500 mille dinars aux Hammam-Lifois comme compensation. Il justifia ses revendications par le fait que le CSHL avait écopé d'une amende de 3000 dinars prouvant irréfutablement que le CSS était depuis le début de cette nébuleuse affaire dans ses droits. Adel Daâdaâ que nous avons contacté nous fit la déclaration suivante à ce propos : « C'est une histoire à dormir debout et je ne perdrai pas mon temps à répondre à pareilles hérésies. Pour moi ce sont des balivernes, juste pour épater la galerie mais ne trompant personne tellement elles sont cousues de fil blanc. Mais bien sûr que je ne débourserai pas le moindre sous à qui que ce soit. Et puis de quel droit oserait-on avoir l'indécence de me réclamer pareille somme ? Il ne leur suffit pas d'avoir soudoyé scandaleusement certains décideurs pour parvenir à faire rejouer le match de la journée inaugurale que nous avions gagné à la régulière ? Ils ont profité de l'absence de 7 joueurs de mes titulaires pour arracher dans la douleur une victoire au forceps et programmée à l'avance. Je n'en dirai pas plus concernant ce dossier de la honte qui restera dans les annales et ne fait nullement honneur à tous ses commanditaires. Aucune démission par écrit Concernant les rumeurs circulant avec insistance en ville rapportant que plusieurs membres au sein du BD avaient présenté leur démission et que de ce fait mon BD ne jouit plus de la légitimité légale, je précise qu'aucune démission par écrit n'a été enregistré au bureau d'ordre du club. Rien que des rumeurs non fondées voilà tout ».