* Racolage * Ecoulement d'objets volés Une boutique en plein centre de Sousse servant d'atelier de réparation de matériel informatique a été mise à sac durant la nuit au début de ce mois de juillet. Selon le propriétaire de l'atelier qui s'était présenté à la police pour déposer une plainte, les voleurs s'étaient introduits par la fenêtre dont l'un des carrés de verre a été brisé. Ils ont ensuite manipulé la poignée et ont forcé l'ouverture. Une fois à l'intérieur, les voleurs ont mis la main sur deux ordinateurs portables, trois caméras vidéo, une douzaine de téléphones cellulaires ainsi qu'un appareil précieux de diagnostic des pannes. Une brigade s'est déplacée sur les lieux pour les besoins de l'enquête.
Racolage Deux jeunes filles âgées respectivement de 34 ans et 36 ans ont été arrêtées par la police alors qu'elles faisaient des signes aux conducteurs sur la route X20 à Tunis en plein milieu de la nuit. La brigade des mœurs les a prises la main dans le sac alors qu'elles proposaient leurs services à deux étrangers qui s'étaient arrêtés suite aux signes adressés par les filles. Emmenées au poste, elles avaient nié toute intention de prostitution expliquant qu'elles faisaient signe aux conducteurs pour les ramener chez elles. L'interrogatoire des deux étrangers n'a laissé aucune chance aux filles. Ils ont affirmé que les filles leur proposaient de passer d'agréables moments avec eux. Elles ont fini par avouer. Leur casier judiciaire ne manquait pas d'affaires semblables et elles ont été condamnées à deux ans de prison chacune.
Ecoulement d'objets volés Les agents de police ont remarqué la présence quasi-quotidienne au souk populaire de Souk El Asr d'un nouveau jeune homme vendant des portables et des gadgets électroniques. Il n'était pas un habitué des lieux et, surtout, il vendait à moitié prix. Les agents ont resserré l'étau autour de lui et l'ont coffré. Lors de l'enquête, il s'est avéré que ce jeune homme de 22 ans travaillait pour une autre personne dont il avait donné le nom, le signalement et l'adresse. Arrêté après une recherche de plus d'une dizaine de jours, ce dernier a reconnu s'approvisionner chez le grand public sans vérifier l'origine du produit. Il a été arrêté et comparaîtra, bientôt, avec son complice devant un tribunal.