* Racolage * Adultère ! Le bruit assourdissant émanant d'un ivrogne en pleine nuit a poussé les voisins à appeler la police. Une ronde faisant les parages de la place Pasteur a reçu la communication et ramené au poste cet homme de 46 ans à quatre heures du matin. Il ne parvenait même pas à se tenir debout et se balançait en pleine chaussée faisant un énorme bruit. Prié par les agents de police de se tenir correctement, il les a injuriés et prononcé une série de blasphème. Transporté au poste, il a continué à utiliser les mêmes propos orduriers. Un procès verbal et un mandat de dépôt lui ont été dressés et il a été déféré devant le juge d'instruction. Il a été traduit devant la justice et il a écopé de trois mois de prison.
Racolage Trois femmes ont été arrêtées à l'aube du côté de l'avenue Hédi Chaker à Tunis alors qu'elles faisaient des signes aux conducteurs des voitures. Appelées à expliquer les raisons de leur comportement bizarre, elles ont prétendu qu'elles voulaient demander aux conducteurs de les ramener chez elles parce qu'elles n'avaient pas d'argent. Emmenées au poste de police, il s'est avéré qu'elles avaient des précédents en matière de prostitution clandestine et de racolage sur la voie publique. Elles ont été déférées devant un juge d'instruction et un mandat de dépôt a été dressé à l'encontre de chacune d'elles.
Adultère ! Une femme a surpris son mari en pleins ébats amoureux avec une autre femme dans leur domicile conjugal qui sert aussi de bureau pour le mari. Elle a refermé la porte de la maison et est sortie alerter les voisins. Un attroupement de badauds s'est formé devant la maison. Des voisins ont appelé la police les informant qu'une dame a surpris son mari en flagrant délit d'adultère. La patrouille qui s'est rendue sur place a trouvé cette dame devant la porte de chez elle. Ce dernier était à l'intérieur avec une autre femme. C'était une chambre aménagée en bureau. L'épouse légitime affirmait avoir trouvé son mari en pleins ébats amoureux. Elle a vite refermé la porte et appelé les voisins au secours. Le mari et sa secrétaire (car il s'agissait d'une nouvelle secrétaire) niaient en bloc et affirmaient qu'ils étaient en plein travail. La maison servait de bureau pour le mari. L'enquête préliminaire a dégagé que la secrétaire était elle aussi mariée et son mari a soutenu son épouse et tenu à poursuivre en justice la femme du patron pour propos diffamatoires. En l'absence de preuves formelles, le mari et sa secrétaire n'ont pas été poursuivis et cette affaire a été classée.