Maintenant que l'affaire du maintien est définitivement pliée, toute l'attention des banlieusards est désormais braquée sur des sujets d'une importance notable : le prochain match de coupe, le renouvellement de contrat des joueurs, la présidence du club et par ricochet la reconduction de Mejri .
La Coupe le mercredi pourquoi ? Ni les locaux, ni encore moins le stade sportif sfaxien ne sont impliqués dans les campagnes africaines ce week end pour justifier le report de leur confrontation au mercredi d'après. Soit. Mais le SSS doit disputer dans le cadre du championnat une rencontre contre l'O. Médenine. Du coup, sa rencontre avec les Hammam-Lifois dans le cadre des huitièmes de finales de se décaler de deux jours.
Tous, en principe, reconduits. Harrane et Zouabi seront officiellement avec le groupe l'exercice prochain. Avec une nuance cependant concernant l'excentré gauche, on parle de lui avec insistance au CSS ou au CA. Son départ est tributaire de la satisfaction des conditions posées par ses employeurs actuels qui ont placé la barre assez haut faut il la souligner pour le libérer.
Pour le reste des joueurs en fin de contrat le 30 juin, l'assurance a été donnée de leur part au BD de continuer leur bail avec les verts l'année prochaine. Il est vrai que le paiement régulier de leurs indemnités n'est pas étranger à leur sage décision volet motivation.
Bhar : partira, partira pas ? Il le crie haut et fort à qui veut bien l'entendre, il veut partir, excédé par la lourde responsabilité qu'il a assumée tout seul. Et n'eussent été ses amis et relations personnelles, le club aurait sombré et croulé sous les dettes.
Mais, à Hammam-Lif, on ne voit pas à l'heure qu'il est quelqu'un qui pourrait le relever avec une réussite totale sur le plan financier. Reconduction probable donc de Bhar cet été en dépit de ses soubresauts.
Mejri : l'aventure continue Le départ calamiteux a contraint le président à se séparer de Ridha Akacha et de faire appel à l'enfant du club Habib Mejri. Ce dernier se mit au travail mais les résultats de ne guère suivre.
Son mérite est d'avoir persévéré dans la voie qu'il a tracée. Et graduellement, le groupe de cueillir les fruits de son labeur.
Du coup, le départ de Mejri à la fin de l'exercice en cours est difficilement envisageable.