Une assemblée générale élective de la FTK s'impose. Les derniers résultats de nos représentants aux derniers open de Paris et de Sharm Echeikh ont amplifié la crise du karaté. La faute incombe à tous les bureaux fédéraux provisoires qui ont pris les rênes depuis un certain 12 février 2012. C'est ainsi que le mandat actuel de la Fédération tunisienne de karaté a pris fin le 12 février 2016. Depuis 17 jours, le bureau fédéral est illégal. La tutelle et le Cnot doivent réagir pour organiser une assemblée générale élective lors des deux prochains mois, surtout que cette discipline n'est pas un sport olympique. Par ailleurs, depuis 2012, ces membres ont fait le vide autour d'eux. En attendant, la tutelle doit absolument interdire à la FTK d'organiser des stages pour les entraîneurs et les arbitres afin de ne pas influencer les participants aux prochains travaux de l'Assemblée générale élective.