Ridha Belhadj, porte-parole de Nidaa Tounes, a déclaré lors de son passage ce lundi 22 octobre 2012, sur les ondes de Shems FM, que les assassinats politiques ne doivent pas devenir des crimes d'Etat. En d'autres termes, si le gouvernement s'interpose à la dissolution des comités pour la protection de la Révolution, il sera considéré comme complice dans les crimes perpétrés par ces organismes. Ridha Belhadj a précisé que la plus part des participants aux comités pour la protection de la Révolution sont des criminels et cela s'est manifesté lors des violences vécus à Tataouine, jeudi 18 octobre 2012. Ridha Belhadj a nié l'existence d'équipes spéciales pour protéger les militants du mouvement Nidaa Tounes. Investir en Tunisie