Le ministère des droits de l'homme et de la justice transitionnelle a indiqué, vendredi, que les déclarations faites par les trois activistes du mouvement Femen libérées dans la nuit de mercredi dernier, à propos des conditions de leur détention qu'elles ont qualifiées de « dégradantes » et « ne respectant pas les droits humains » sont de « pures allégations mensongères »...